Bienvenue à tous sur le blog de la CR85

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Vous pourrez trouver sur ce blog les informations, formulaires, liens ayant trait à la vie agricole vendéenne et française.

mercredi 18 septembre 2019

ZNT RIVERAINS

Consultation ZNT Riverains – Faites-vous entendre !

L’actualité agricole et médiatique est monopolisée par la nouvelle lubie du gouvernement et de certains maires : les zones de non-traitement (ZNT) à proximité des riverains. Sur ce sujet, la Coordination Rurale a décidé de rester ferme et sans compromis, et donc de refuser catégoriquement toute ZNT.
Vous, paysans, devez faire entendre votre voix pour qu’il n’y ait pas de ZNT.
Accepter l’idée d’une ZNT, aussi petite soit-elle, sans que nous puissions voir les prix de nos productions augmenter ni même une compensation financière de ces contraintes, ­c’est mépriser notre travail nourricier.

La CR rappelle que les produits phytosanitaires sont autorisés par l’Anses et donc par le Gouvernement, et que, ayant passé le Certyphyto, les agriculteurs sont qualifiés pour les acheter et les utiliser.

De plus, il n’existe aucun élément tangible permettant d’affirmer que les riverains à proximité des champs seraient soumis à un danger suite à l’utilisation de traitements phytopharmaceutiques. Il apparaîtrait par ailleurs dans ce cas une prévalence de problèmes de santé chez les ruraux en comparaison des urbains.
Comme le rappelle l’Anses dans son communiqué de presse du 13 septembre 2019 :

« La protection des populations lors de l’utilisation de produits phytopharmaceutiques fait partie des missions premières de l’Anses.

L’évaluation des produits phytopharmaceutiques réalisée par l’Anses dans le cadre des autorisations de mise sur le marché, prend en compte l’exposition des personnes présentes et des riverains, sur la base d’une méthodologie harmonisée au niveau européen par l’EFSA, l’autorité européenne en charge de la sécurité sanitaire des pesticides à l’échelle européenne.

Pour chaque dossier d’évaluation en vue d’une autorisation de mise sur le marché, l’exposition des personnes présentes et des résidents est estimée à des distances de 3, 5 et 10 m pour des applications avec un pulvérisateur à rampe dans le cas des grandes cultures, et à une distance de 10 m pour les vergers et les vignes avec un pulvérisateur à jet porté (pulvérisation vers le haut). En ce qui concerne les autres méthodes d’application, une méthodologie d’évaluation dédiée doit être utilisée.

Dès lors que l’exposition estimée met en évidence un risque pour la santé humaine, aucune autorisation de mise sur le marché ne peut être délivrée. Dans tous les cas, quand l’exposition estimée dépasse la valeur toxicologique de référence à 10 m du pulvérisateur, le produit n’est pas autorisé. »

Tant que les prix agricoles ou des indemnités à l’euro près ne couvrent pas la baisse de rendement liée aux ZNT, la Coordination Rurale sera opposée sans concession à tout projet amenant à la création de zones de non-traitement à proximité des riverains.

3 ÉTAPES
5 MINUTES
Pour éviter de se voir imposer ces ZNT

Étape 1Participez à la consultation du gouvernement sur un projet de décret et un projet d’arrêté relatifs aux mesures de protection des personnes lors de l’utilisation des produits phytopharmaceutiques à proximité des zones d’habitation :
http://www.consultations-publiques.developpement-durable.gouv.fr/spip.php?page=forum&id_article=2032
Consultation publique ZNT
Étape 2Signez la pétition « Non aux ZNT Riverains ! Foutez la paix aux paysans ! » : https://www.change.org/p/gouvernement-non-aux-znt-riverains-foutez-la-paix-aux-paysans
Étape 3Partagez ces deux liens avec vos collègues, vos amis et votre famille pour qu’eux aussi soutiennent les paysans.

jeudi 5 septembre 2019

PORTE OUVERTE INSÉMINATION

Venez aussi tenter de gagner des paillettes d'insémination lors de cette porte ouverte. On vous attend nombreux !



ZNT

Pour la CR, les ZNT c’est NON et sans compromis !

Les Zones de non-traitement (ZNT) à proximité des habitations sont évoquées avec répétition depuis plusieurs semaines créant un climat anxiogène chez les agriculteurs, pourtant aucune nouvelle négociation n’a eu lieu depuis cet été sur le sujet. Si la FNSEA souhaite accepter les compromis et la Confédération Paysanne la mise en place rapide de ces ZNT, la Coordination Rurale est formellement opposée à ce projet.

Vignoble à proximité d'habitationsPour Bernard Lannes, président de la Coordination Rurale, « les agriculteurs n’ont pas à supporter cette nouvelle lubie politique ». Les agriculteurs utilisent des produits phytosanitaires autorisés et respectent leurs conditions d’utilisation. Ils reçoivent même une formation dédiée à ce sujet. Dès lors, il n’y a pas de danger avéré ni pour l’utilisateur, ni pour les personnes résidant à proximité. Si c’était le cas, des études scientifiques sur le sujet seraient à apporter et surtout il faudrait remettre en cause toutes les méthodes d’évaluation françaises.

« Si certains élus locaux souhaitent mettre en place des « corridors de sécurité », qu’ils s’arrangent avec l’agriculteur en vue d’une location ou d’un rachat des terres concernées et surtout qu’ils revoient intégralement les Plans locaux d’urbanisme en place et à venir » propose Max Bauer, horticulteur dans le Var.

La position de la Coordination Rurale restera intangible sur ce sujet car les agriculteurs n’ont rien à se reprocher. S’il devait y avoir le moindre danger pour les utilisateurs et les riverains, alors l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail), les producteurs de produits phytopharmaceutiques et l’État devraient préalablement remettre en question leurs méthodes d’évaluation et dédommager les agriculteurs pour les préjudices subis depuis de nombreuses années.

vendredi 30 août 2019

CHANSON HOMMAGE AUX AGRICULTEURS

Belle chanson en hommage aux agriculteurs réalisée par des jeunes de l'Ile d'Yeu sur une exploitation laitière de St jean de Monts. A partager!!!

Cliquer sur : Rendez-vous sur YouTube pour regarder cette vidéo.

jeudi 29 août 2019

ELECTION MSA

Vérifiez si vous êtes inscrit sur la liste électorale MSA

En janvier 2020, vous allez être appelé à élire vos délégués au sein de votre MSA

Du 20 au 31 janvier 2020, vous serez invité à voter par internet ou par correspondance, pour choisir les délégués qui vous accompagneront et vous représenteront pendant 5 ans. Vous recevrez à votre domicile les documents de vote.

Ce vote vous rend acteur de votre régime de protection sociale et votre voix est précieuse.

Vous pouvez dès maintenant vérifier, sur le site internet de votre MSA, si vous êtes inscrit sur la liste électorale et dans le bon collège. A défaut, vous pourrez demander votre inscription en écrivant au Président du Conseil d'administration de votre MSA, au plus tard le vendredi 13 septembre 2019,

- soit par messagerie à l'adresse electionsmsa@msa44-85.msa.fr

- soit par voie postale à :
Monsieur le Président du Conseil d'Administration
MSA Loire-Atlantique - Vendée
Elections MSA 2020
33 boulevard Réaumur
85933 La Roche sur Yon Cedex 9

Après examen de ces demandes, les listes définitives des électeurs seront établies et publiées au plus tard le mardi 8 octobre 2019.
> Consulter la liste des électeursMon délégué, mon meilleur relais

mardi 27 août 2019

INTERVENTION EMMANUEL MACRON

190826-Emmanuel-Macron-deficit-proteines-vegetales-sojaSoja, Amazonie, G7 : le président a enfin compris le problème

Dans son intervention télévisée du 26 août, à la suite du G7 de Biarritz, le président de la République Emmanuel Macron a semblé montrer qu’il avait compris l’origine du principal problème de l’agriculture européenne : le déficit en protéines végétales.
Ce déficit « est le fruit d’un vieil équilibre qui a été conclu dans les années 60 entre l’Europe et les États-Unis d’Amérique » a-t-il affirmé. Il a ensuite appelé à mettre en œuvre une « souveraineté protéique de l’Europe ».

Pour France Grandes Cultures, il s’agit d’une évolution très positive car le discours officiel français n’évoquait jusqu’à maintenant que la « stratégie protéique nationale ». Le lien avec les anciens accords commerciaux n’était par ailleurs jamais mentionné.

Mais FGC rappelle que pour acheter moins de soja au Brésil, il va aujourd’hui falloir commencer par renégocier les accords commerciaux et engager un réel bras de fer, notamment avec Donald Trump qui a obtenu de l’Union européenne qu’elle favorise le soja étasunien dans ses achats. Emmanuel Macron y est-il réellement disposé ?

Le soja, responsable du faible revenu des agriculteurs
En un demi-siècle, les importations de soja ont déstructuré toute l’agriculture européenne et déformé nos balances commerciales.
Aujourd’hui, l’Union européenne importe 36 millions de tonnes de soja (graines et tourteaux). Pourquoi ? Parce qu’elle ne produit que le quart de ses besoins. Les surfaces qui devraient être cultivées en luzerne, soja et autres espèces de légumineuses, sont par défaut cultivées en blé. Résultat, l’Europe est devenue artificiellement excédentaire en céréales et exporte 24 millions de tonnes de blé au cours mondial.

Le cours du blé est la valeur étalon sur laquelle se calent les prix de toutes les autres productions agricoles. Des légumes aux viandes, les importations de soja sont par conséquent bien la cause du faible revenu des agriculteurs européens.
60 millions de tonnes de « commodités » agricoles traversent donc inutilement les océans dans des navires fonctionnant au fuel lourd. La relocalisation de ces productions serait également excellente pour la biodiversité et la rotation des cultures. Elle permettrait par ailleurs de réduire les utilisations d’engrais et de produits de phytosanitaires.

Soja brésilien, étasunien… De quel soja parlons-nous ?
« Si le diagnostic est établi, le problème n’est pas simple à résoudre. Le soja que nous importons ne provient pas que d’Amérique du Sud mais également des États-Unis, explique Nicolas Jaquet, président de France Grandes Cultures. Suite aux problèmes commerciaux avec la Chine, le président Donald Trump a obtenu de l’Union européenne qu’elle favorise le soja d’origine étasunienne dans ses achats ».

A sein de l’Union européenne et en France, existe aussi un lobbying très fort des géants du grain. Ils profitent aussi de ces échanges. Y compris au sein des filières, de nombreux opérateurs se sont bien accommodés de cette déstructuration de notre agriculture. Ils opposent par conséquent une certaine résistance à les remettre en cause.

Selon, Damien Brunelle, secrétaire général de FGC, « pour réussir à développer une souveraineté protéique, il est impératif de sortir l’agriculture des accords commerciaux. C’est ce que nous appelons l’exception agriculturelle ».

lundi 26 août 2019

ELECTIONS MSA

Agri 44Élections MSA 2020 : ne laissez pas les autres décider 
pour vous !

Les élections MSA se dérouleront du 20 au 31 janvier 2020.
La Coordination Rurale de Vendée entend rester en prise directe avec la MSA sur ce sujet devenu un des plus complexes de notre métier. C’est pourquoi nous sollicitons les candidatures de nos adhérents pour représenter la CR85 à la MSA au sein de votre canton. Chaque délégué MSA pourra s’impliquer à hauteur de ses possibilités, de sa disponibilité afin de faire remonter et améliorer toutes les situations délicates rencontrées par les agriculteurs avec la MSA.
Notre implication doit être plus importante dans ces élections afin d’œuvrer en faveur des agriculteurs de notre département.
Exploitant agricole, retraité, employeur de main-d’oeuvre, nous vous demandons de vous investir dans cette mission. Vous avez tous connu des soucis de cotisations, de pénalités de retard, de retraite, et plus encore ! Ne laissons pas la MSA à des personnes qui n’auront pas le courage de vous défendre !
 Vous souhaitez être candidat sur votre canton ?Contactez le bureau de la CR 85 : 02 51 37 47 41

RESTRICTIONS D'EAU

Photographies de la rivière BoulogneLes précipitations des quinze derniers jours ont été bénéfiques, mais n’ont pas d’effets durables sur les milieux, notamment sur les cours d’eau.

Etat des ressources
• la ressource en eau potable est correcte mais à surveiller. Les barrages sont remplis à 63 %.
• les niveaux de nappes (eaux souterraines) se sont stabilisés voire augmentés sur certains secteurs.
• les débits des cours d’eau ainsi que les niveaux d’eau dans les marais, restent bas.

Mesures applicables à compter du lundi 26 août 2019 :

Eau potable : aucune limitation sur l’utilisation d’eau potable n’est en vigueur mais l’évolution de la ressource est suivie avec vigilance.
Nappes :
→ Agriculture :
• Nappes Lay Est : les volumes autorisés sont réduits de 15 % ;
• Nappes Vendée Ouest, Centre et Est : les volumes non consommés ne peuvent pas être reportés sur la quinzaine suivante ;
• Nappe Autizes : les volumes autorisés sont réduits de 30 % ;

Cours d’eau :
 → Agriculture : • Maines, Logne-Boulogne, Sèvre nantaise, Marais Breton, Vie-Jaunay, Côtiers vendéens, Lay superficiel non réalimenté, Vendée superficiel et Autize superficiel : interdiction totale de prélèvement ;
• Marais Sèvre Niortaise : interdiction totale de prélèvement ;
• Marais Vendée : réduction de 20 % des volumes restants.

→ Particuliers, industriels, professionnels et collectivités territoriales : • Maines, Logne-Boulogne, Sèvre nantaise, Marais Breton, Vie-Jaunay, Côtiers vendéens, Lay superficiel non réalimenté, Vendée superficiel, Autize superficiel et Marais Sèvre Niortaise : interdiction totale de prélèvement.

→ Chasseurs au gibier d’eau et oiseaux de passage :
• Marais Breton et Marais poitevin : interdiction totale de remplissage des plans d’eau à vocation cynégétique.

Le préfet de la Vendée invite chaque utilisateur d’eau à être vigilant et agir afin de maîtriser sa consommation.

vendredi 2 août 2019

INDICE DES FERMAGES 2019


L'indice national des fermages augmente de +1,66% en 2019 après 3 ans consécutif de baisse.
L'indice s'établit pour 2019 à 104,76 contre 103,05 en 2018.

Pour la période de 2019 à 2020, l’actualisation du montant des fermages devra donc se faire selon cette formule légale : loyer par hectare en 2018 x 104,76/103,05.

Pour rappel en 2018 la baisse était de 3.04 % avec un indice fixé à 103,05.

mercredi 31 juillet 2019

RESTRICTIONS USAGES DE L'EAU

Au vu des conditions climatiques actuelles et de la situation des milieux, le Préfet de la Vendée a décidé de renforcer les mesures de limitation des prélèvements à compter du samedi 27 juillet 2019 à 8 h :

Résultat de recherche d'images pour "riviere assec"Eaux superficielles :

- Secteurs Sèvre nantaise, Maines, Logne-Boulogne, Marais Breton, Vie et Jaunay, Côtiers vendéens, Autize superficiel, Vendée superficiel et Lay superficiel non réalimenté : interdiction de prélèvement ;

- Secteur Marais Vendée : réduction de 20 % des volumes restants ;

- Secteur Marais Sèvre niortaise : réduction de 40 % des volumes autorisés.

Eaux souterraines :

- Secteurs Nappes Lay Ouest : non report des attributions

- Secteurs Nappes Lay Est et Nappes Vendée Centre : réduction de 30 % des volumes autorisés ;

- Secteur Nappes Vendée Ouest et Nappes Vendée Est : réduction de 15 % des volumes autorisés ;

- Secteur Nappes Autizes : réduction de 40 % des volumes autorisés.

Le Préfet de la Vendée invite chaque utilisateur d'eau à être vigilant et agir afin de maîtriser sa consommation.

Par ailleurs, le remplissage et la remise à niveau des plans d'eau à vocation cynégétique est interdit sur l'ensemble du Marais breton et du Marais poitevin.

FAUCHE JACHERE

Dérogation à l‘interdiction de valorisation des jachères

Compte tenu de la sécheresse persistante, le zonage des départements pouvant dans le cadre des circonstances exceptionnelles, autoriser par dérogation la valorisation des jachères s’est étendu, intégrant désormais la région des Pays de la Loire.

Ces dérogations sont mises en place pour faire face à la pénurie de fourrage et le produit récolté sur les jachères doit bénéficier aux éleveurs (mise à disposition des surfaces).
Pour bénéficier de la dérogation, les exploitants doivent en faire la demande par écrit datée et signée.

Résultat de recherche d'images pour "sécheresse jachere"La demande devra préciser les n° de parcelles PAC et la surface concernée ainsi que, selon leur situation :

 Pour les éleveurs :
- un argumentaire sur le déficit fourrager subi ; le lien de causalité entre le manque de fourrage et la valorisation
des jachères doit être démontré.

 Pour les non éleveurs :
- Lettre de mise à disposition des surfaces en jachère à un ou plusieurs éleveurs ou attestation co-signée entre
l’éleveur et lui-même ou tout autre document démontrant l’effectivité de la cession du fourrage, et
- Courrier de l’éleveur ou des éleveurs bénéficiaires justifiant le déficit fourrager subi et le besoin en fourrage pour alimenter leur troupeau

Les demandes peuvent être adressées :

- par voie postale
DDTM, service Agriculture- PAC,
19 rue Montesquieu
BP 60827
85021 La Roche sur Yon Cedex

- par mail à l’adresse suivante :
ddtm-sdea-infopac@vendee.gouv.fr

mercredi 24 juillet 2019

RATIFICATION DU CETA

Assemblée nationaleCe 23 juillet les députés français ont tranché, une majorité d’entre-eux a choisi de ratifier l’accord commercial entre l’Union européenne et le Canada (CETA).

Ce même accord qui risque d’entraîner la disparition de plus de 30 000 exploitations agricoles et plonger de nombreuses familles dans une détresse dramatique.

Ce même accord qui va autoriser des importations de bœufs traités aux antibiotiques et nourris aux farines animales, pratiques totalement interdites en Europe.

Ce même accord qui va voir nos paysages disparaître et notamment nos prairies, indispensables pour stocker du carbone alors que dans le même temps il va permettre à des morceaux de viande de faire des milliers de kilomètres alors que nous pouvons les produire localement.

Malgré un bilan alarmant et catastrophique à tous les niveaux, malgré une opposition de l’ensemble de la société civile, la majorité parlementaire, composée de La République En Marche et du Modem a choisi de rester sourde et de continuer tête baissée dans sa volonté affichée de brader notre agriculture.

Cependant, la Coordination Rurale n’abdiquera pas tant qu’il restera une petite chance de sauver de nombreuses familles et défendre notre agriculture d’excellence reconnue dans le monde entier. Nous sommes convaincus que les sénateurs, qui doivent maintenant étudier cet accord, sauront faire le bon choix et refuser de le ratifier en le renvoyant sur les bancs de l’Assemblée nationale. Nous restons mobilisés et nous irons une nouvelle fois à la rencontre des députés qui ont voté en faveur de cet accord pour les convaincre qu’ils se trompent.

Résultats du vote :
POUR 266
CONTRE 213
ABSTENTION 74


Vote des députés vendéens : Favorable : Martine Leguille Balloy, Philippe Latombe et
                                                                 Patrick Loiseau
Abstention : Pierre Henriet et Stéphane Buchou

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